Résumé :
C’est l’histoire d’une famille de bourgeoisie moyenne ayant cinq filles dans
l’Angleterre fin du XVIIIe siècle : Les Bennet. Leur mère, Mrs Bennet veut
à tout prix les marier car à la mort de son mari, un entail au domaine envoie l’héritage
à une autre branche de la famille. Aussi, quand arrive dans les environs deux célibataires fortunés, Mrs Bennet lance ses filles à leur poursuite. Mr Bingley
a tout pour plaire : sociable et riche, il tombe dès le premier jour sous
le charme de l’aîné des demoiselles Bennet : Jane. Au contraire, son ami
Mr Darcy, bien que plus riche se montre hautain et froid. Dès le premier bal,
il dédaigne Elizabeth, la sœur cadette de Jane. Mais après avoir démontré à
tout le monde son indifférence pour elle, il commence à lui trouver de
bien nombreuses qualités. De son côté, Elizabeth piquée par la remarque de Mr Darcy
se désintéresse de lui et rencontre un beau jour Mr Wickham… Celui-ci ne tarde
d’ailleurs pas a révélé la vraie « nature » de Mr Darcy …
Mon avis :
C’est devenu mon livre de chevet par excellence ! L’ironie
et la critique des gens de l’époque sont tout à fait saisissantes dans ce
roman. A la fois drôle et émouvant, mélangeant action et leçon de morale, cette histoire nous
transporte. Elizabeth de par son caractère indépendant est tout à fait
attachante. On s’identifie très facilement à elle et on tombe
très vite sous le charme de Mr Darcy…
Au départ, le récit est assez long à démarrer : le
temps de mettre tous les éléments de l’intrigue en place. Une fois tous les
protagonistes entrés en scène : on ne peut plus le lâcher ! De plus,
jusqu’à la fin, il y a des imprévus qui empêchent le dénouement que l’on attend
tous d’arriver. Car il faut le dire, même si ce livre est très souvent
humoristique, il y a bien une romance qui se cache derrière.
Je ne le quitte plus, et ne quitte pas non plus les
adaptations qui ont été faîtes (mais j’en parlerai plus tard dans d’autres
billets ;).
Ainsi je lui attribue, sans aucune surprise, la note de :
10/10
Et je terminerai par deux citations, peut-être les plus
connues du roman. En version originale bien entendu.
“It is a truth universally acknowledged that a single man in possession of a good fortune must be in want of a wife.”
"In vain have I struggled. It will not do. My feelings will not be repressed. You must allow me to tell you how ardently I admire and love you."
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